Manufacture

manoli - manufacture

barre de progression de Manili pour l'unité de fabrication du bâtiment

Manoli aimerait à l'avenir faire tisser ses foulards dans sa propre usine. Pour ce faire, nous préservons 20% du prix de vente de chaque foulard vendu.

Cela devrait nous permettre d’améliorer continuellement notre production. L'usine doit également devenir un lieu d'échange de connaissances.

Nous souhaitons partager les connaissances des éleveurs de chèvres Suisse Cachemire avec les bergers du Népal afin qu'ils puissent mieux élever leurs chèvres. Nous espérons que cela se traduira par une laine de meilleure qualité et un rendement par chèvre plus élevé.

Nous voulons ainsi garantir que nous avons besoin de moins de chèvres pour la même quantité de cachemire et ainsi ne pas exercer de pression supplémentaire sur l'écosystème fragile de l'Himalaya.

Nous imaginons une usine qui, en plus de beaucoup de lumière et d'air frais, soit un lieu de travail agréable même en hiver, chauffé et pas trop bruyant.

Il est également important pour nous de pouvoir donner à nos femmes de l'équipe la possibilité de laisser leurs enfants jouer dans notre propre garderie après l'école et ainsi d'avoir la sécurité que les enfants sont à proximité et entre de bonnes mains. Cela signifie qu'un bébé ne devrait plus être une raison pour ne pas pouvoir monter à cheval : la mère peut l'allaiter à tout moment. Bien entendu, nous apprécions une pause maternité suffisamment longue - ce qui était également inconnu au Népal.

Nous estimons les coûts de fabrication à environ CHF 260'000.

Nous avons également besoin d'une station d'épuration

De plus, nous aimerions créer une station d'épuration de nos eaux usées, que nous aimerions relier au plus grand nombre d'habitants possible - cela n'existe pas encore à Katmandou, toutes les eaux usées vont directement dans les rivières sans être traitées. Les coûts d'une installation de traitement des eaux usées s'élèvent à pas moins de 120 000 CHF.

Nous prévoyons donc actuellement une dépense totale d'environ un demi-million de francs - ce qui nous oblige à vendre environ 15'000 foulards. Nous attendons avec impatience ce beau défi !